Regard de photographe
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19 - Regards de photographe… et de poète (image/jpeg – 315k)
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20 - Médecins du Monde au Yémen (image/jpeg – 141k)
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21 - 6 milliards d’Autres
Réalisé par Sybille d’Orgeval et Baptiste Rouget-LuchaireSous la direction de Yann Arthus-BertrandDu 10 janvier au 12 février 2009, Médecins du Monde a été partenaire, au Grand Palais, à Paris, de l’exposition « 6 milliards d’Autres », un projet du photographe Yann Arthus-Bertrand, réalisé par Sybille d’Orgeval et Baptiste Rouget-Luchaire.
Quatre ans de tournages, 5 000 interviews ont été nécessaires pour recueillir, dans 70 pays, les réponses d’hommes et de femmes à 40 questions aussi apparemment anodines qu’essentielles pour découvrir ce qui nous sépare et ce qui nous lie : le bonheur, les épreuves, la mort...
Les photos et les témoignages qui suivent sont extraits de cette exposition et du livre qui lui a été consacré aux Éditions de La Martinière.-
Après la mort. Vit en France (image/jpeg – 285k)
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Epreuves. Vit à Cuba (image/jpeg – 276k)
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Femmes. Vit en Afghanistan (image/jpeg – 212k)
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Guerre. Vit à Los Angeles, Etats-Unis (image/jpeg – 234k)
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Bonheur. Vit au Portugal (image/jpeg – 226k)
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Nature. Vit en Nouvelle-Zélande (image/jpeg – 321k)
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22 - Sur la route des conflits gelés
Sous la direction de Laurent HazguiL’explosion du bloc soviétique a enfanté de « confettis » de territoires où la vie semble s’être arrêtée le 26 décembre 1991. Parmi ceux-ci, trois entités séparatistes ont connu la guerre à la déclaration de leur indépendance : la Transnistrie (en Moldavie), l’Ossétie du sud (en Géorgie) et le Nagorno-Karabagh (en Azerbaïdjan). La presqu’île de Crimée (au sud de l’Ukraine) connaît de fortes tensions liées aux velléités de rattachement à la Russie exprimées par l’importante communauté russe.
Depuis, ces petits États de fait, non reconnus par la communauté internationale, ont en commun d’entretenir la menace d’un conflit militaire et de dégager une atmosphère que résume parfaitement l’expression « conflits gelés » qu’on leur a accolée : cette menace diffuse fige autant les hommes que les mentalités ou les paysages.
À des degrés de visibilité divers, la Russie se sert (géo)stratégiquement de ces territoires « tampons » pour garder sa sphère d’influence politique et économique sur plusieurs États ex-soviétiques (Moldavie, Ukraine, Géorgie, Arménie, Azerbaïdjan).
Reportage réalisé par Laurent Hazgui à l’automne 2008.Laurent Hazgui est photojournaliste indépendant diffusé par Fedephoto.
www.laurenthazgui.com
www.fedephoto.com -
23 - Le Népal avec MDM
Un reportage de Benoît Guénot -
24 - Femmes, après coup
Un reportage de LÂm DUC Hiên - Une exposition de Médecins du Monde -
25 - Haïti, entre ombre et lumière
par Lahcène Abib et Sophie Brändström -
26 - Errance de Roms
Un reportage de Sophie Brändström -
27 - Belgrade's heaven
Un reportage de Benoît Guénot -
28 - JR fait le mur
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29 - Place Tahrir
Un reportage de Benoît Guénot -
30 - Nicocoro
Un reportage de Eric Rechsteiner-
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31 - Haïti, portrait inachevé
Un reportage de Rémi Courgeon-
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32 - Cartographie imaginaire
par Julien Bousac-
CARTE NATIONALE D'IDENTITÉS (image/jpeg – 321k)
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SANS VISA - Kaboul (image/jpeg – 386k)
Un ressortissant français peut voyager dans 161 pays sans avoir à obtenir de visa préalable pour un court séjour. Lorsqu'ils sont nécessaires, de nombreux visas seront facilement obtenus. Un ressortissant haïtien peut – théoriquement – entrer dans 42 pays, un ressortissant afghan dans 26 pays mais les liaisons ne le permettent pas toujours et les pays de transit exigent eux-mêmes un visa.
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SANS VISA - Paris (image/jpeg – 191k)
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SANS VISA - Port-au-Prince (image/jpeg – 268k)
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Eject'Air (image/jpeg – 198k)
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L'ÎLE DE LA TRAVERSE (image/jpeg – 232k)
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DAKAR-PARIS (image/jpeg – 329k)
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SÉPARATION (MELILLA) (image/jpeg – 155k)
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L'ARCHIPEL ÉTAT DE PALESTINE (image/jpeg – 340k)
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DÉRIVE (image/jpeg – 391k)
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DÉRIVE (image/jpeg – 409k)
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33 - Des hommes vivent ici
Un reportage de Marion Osmont -
34 - Syrian exodus
Un reportage d’Agnès Varraine-Leca -
35 - Burmese days and nights
Un reportage de William Daniels-
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36 - Voyage en France
Un reportage de Jérôme Sessini / Magnum Photos pour MDMAvec une centaine de programmes répartis dans une trentaine de villes, les équipes de Médecins du Monde soignent et accompagnent tous les ans plus de 50 000 personnes en situation de précarité. La campagne Médecins du Monde, médecins de tout le monde, lancée le 27 mai dernier dans la presse et sur les ondes de Radio France, met en lumière les réalités du terrain et des situations d’exclusion. Prises sur le vif et sans mise en scène, les photographies de cette campagne sont signées Jérôme Sessini, grand reporter de l’agence Magnum.
© Jérôme Sessini / Magnum Photos pour MDM
En savoir plus sur Jérôme Sessini : www.magnumphotos.com
Le site de la campagne de Médecins du Monde : www.tousmedecinsdumonde.org
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37 - Bamako-Paris : aller-retour
Un voyage graphique de BrouckDessinateur de presse engagé, Lionel Brouck est parti au Mali avec Madassa, un « ex sans-papiers ». Ce retour au pays après 11 ans en France, Madassa a en effet voulu le partager avec celui qui est devenu un ami, rencontré lors des piquets de grèves de 2010 des travailleurs sans papiers demandant leur régularisation. De ce voyage, ils nous offrent un journal de bord dessiné, véritable témoignage des liens qui unissent la France et le Mali via les travailleurs migrants. À travers ses dessins, Brouck partage avec justesse et humour ses aventures et rencontres africaines. Ce faisant, il nous invite à ouvrir les yeux sur une réalité que nous ne connaissons pas assez.
Pour contacter l’auteur : lionel.brouck@wanadoo.fr
En savoir plus sur le travail de Brouck : http://brouckenvrac.canalblog.com/
Voir ses dessins : http://www.iconovox.com/dessinateurs/brouck.htmlL’ouvrage de Brouck Liberté de circuler. Voyage au Mali avec Madassa, ex « sans-papiers » est diffusé par le Collectif Paris 12 pour les droits des étrangers.
Information : www.collectif12.comPour aller plus loin : Dossier « Migration : une chance à saisir » de la revue Humanitaire, n° 33, novembre 2012, http://humanitaire.revues.org/1395
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38 – Waste quest
Un reportage de Meri BokeriaC’était le 3 juin 2014, à Manille. Une journée comme toutes les autres pour Jason, 20 ans, recycleur informel de Capulong, un des 500 bidonvilles de la capitale des Philippines. Aux aurores, après avoir emprunté quelques centaines de pesos au « Junk shop », le grossiste du coin, le voilà parti pour sa tournée du quartier, accompagné de Lino son partenaire de circonstances (en vert sur les photos), tous deux juchés sur des tricycles qu’ils louent à la journée. Dans les ruelles exiguës, tandis que les familles vaquent peu à peu à leurs occupations, Jason (en tee-shirt bleu) entame sa quête de déchets électriques. Pour avertir les particuliers susceptibles de lui revendre leurs matériels usagés, il entonne sa rituelle mélopée : « Achète microprocesseurs, écrans de télé, climatiseurs, réfrigérateurs… ». Durant près de cinq heures, le chant résonne dans les boyaux insalubres. La tournée s’avère bien maigre ce jour-là : un lecteur de DVD en tout et pour tout. De retour dans la communauté des recycleurs que Médecins du Monde aide à s’organiser autant qu’à se protéger des effets nocifs de leur activité, Jason s’attèle aussitôt à démanteler l’appareil. C’est le seul moyen pour lui de récupérer le peu d’argent qui lui permettra de manger. Une fois les fils dénudés, les circuits électroniques séparés, il peut aller revendre son maigre tribut au Junk shop. Une fois déduits les frais de l’emprunt du matin et de la location du tricycle, il lui reste à peine 50 centimes d’euros…
Pour aller plus loin, lire dans ce numéro, l’article de Boris Martin, « Recycleurs de Manille : la santé comme moteur de changement », p. 84-95.
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39 - En sursis
Un reportage de Nicolas MoulardMédecins du Monde intervient depuis 2008 sur le camp de Roms de la Flambère, au nord de Toulouse. Et depuis cette date, le photographe Nicolas Moulard a suivi l’action de l’association et découvert cette communauté.
Ces familles sont arrivées en France en 2002 et ont subi de nombreux déplacements. Elles ont changé plus de dix fois de terrains, expulsées parfois de façon violente. Elles viennent du même village de Barbulesti en Roumanie, qu’elles ont fui à la suite de grandes inondations du Danube. À cette catastrophe naturelle se sont ajoutés les maux des hommes : la misère économique, les discriminations et les violences dont est victime cette population. Cette communauté compte aujourd’hui 200 personnes regroupées en 40 familles avec 45 enfants de moins de 12 ans. Depuis peu, le terrain a pu être équipé en électricité de façon sécurisée et un point d’eau a été installé. Il n’y a pas d’équipement sanitaire pour le moment. Tous les enfants ayant l’âge d’être scolarisés en maternelle ou en primaire ont pu être inscrits à l’école. Tous les adultes rencontrés expriment le désir de travailler de façon quotidienne mais aucune démarche entamée pour obtenir un contrat de travail n’a pu aboutir. Alors ils vivent au jour le jour, sans projet, sinon l’espoir d’obtenir un permis de travail qui changerait tout. En attendant, la vie quotidienne s’organise, misérable mais solidaire, car comme ils disent : “Rien n’arrête un peuple qui danse !” »
« Mon travail s’inscrit dans une démarche documentaire sensible et humaniste. J’ai rencontré les habitants du terrain de la Flambère en 2008. La décision de les photographier est venue d’une envie de documenter leur vie quotidienne pour mieux les connaître et combattre nos préjugés. »
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40 - Ebola : traquer le virus pour enrayer l'épidémie
Un reportage d’Agnès Varraine-LecaDurant un peu plus d’un an, l'Afrique de l'Ouest a été confrontée à la plus grande épidémie d'Ebola jamais connue. Mi-mars, le bilan annoncé par l'OMS dépassait les 10 000 morts, principalement en Guinée, au Liberia et en Sierra Leone. Au cœur de la réponse humanitaire à l'épidémie se trouve le contact-tracing. Cette activité clé du dispositif de lutte contre Ebola consiste à suivre quotidiennement l'ensemble des personnes ayant été en contact avec un malade d'Ebola pendant une durée de 21 jours, soit la période d'incubation du virus. Au-delà d'une prise en charge plus rapide des patients, il permet de les isoler rapidement, cassant ainsi la chaîne de transmission du virus. Tous les matins à l'aube, les équipes de contact-tracers visitent les communautés pour vérifier qu'aucun de leurs contacts ne développe les symptômes du virus.
Reportage réalisé en novembre et décembre 2014 à Monrovia, la capitale libérienne, dans le grand bidonville de West Point où vivent près de 75 000 personnes.
Texte & Images : © Agnès Varraine-Leca/ACF
Site : www.agnesvarraineleca.com-
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41 - Focus sur le collectif item
Né en 2001 d’une volonté commune de transmettre de l’information, le collectif item, basé à Lyon, est aujourd’hui une structure de production indépendante regroupant des photographes, une réalisatrice et un graphiste. Leurs regards d’auteurs leur permet de développer individuellement ou en équipe des projets documentaires sous forme de récits photographiques ou de réalisation multimédia. Leurs travaux portent sur des problématiques à caractère social, culturel et politique. Le collectif item anime également un lieu dédié à l’image documentaire qui accueille expositions, projections et débats. Nous présentons ici trois sujets traités par des membres de ce collectif.
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Dann’somin* / Morgan Fache
« Je t’amène si tu veux, je vais te montrer la misère ». Celui qui se fait appeler Guerrier a ouvert la porte du monde des sans-abris à l’ile de la Réunion. Pendant deux ans, Morgan Fache a suivi l’évolution et souvent la dégradation de leurs conditions de vie. Avec environ 350 000 personnes vivant en dessous du seuil de pauvreté, la Réunion fait partie des départements français les plus touchés par la précarité.
*Dann’ somin (« dans le chemin », en créole) signifie « vivre dans la rue ».
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Exilés de Birmanie / Hugo Ribes
Environ 2,5 millions de migrants birmans vivent en Thaïlande, soit 5 % de la population birmane. Véritable manne pour l’économie du royaume, les migrants constituent une main d’œuvre corvéable à merci dont tirent profit les secteurs de l’industrie, du tourisme, ou encore du marché du sexe... La plupart de ces travailleurs clandestins sont ignorants de leurs droits et sont exploités, discriminés, maltraités en toute impunité.
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La Chapelle en lutte / Bertrand Gaudillère & Catherine Monnet
Expulsés, ballotés depuis le début du mois de juin 2015 d’un camp de fortune à un autre, des centaines de migrants survivent dans le nord de Paris grâce notamment à l’aide de citoyens ordinaires.
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